Juste quelques infos :
- Avec BàF+plaque, j’ai l’impression que ça fonctionne moins bien lorsque la cendre s’accumulent. Je retire donc la cendre assez souvent, tous les 250kg de flambées (environs 25 glambées chez moi).
A noter qe je n’aime pas enlever la BàF, donc maintenant je ramasse les cendres directement dans la BàF à l’aide d’une grande tasse/récipient qui résiste à la chaleur et que je peux tenir même s’il chauffe un peu. Je ne sais pas si c’est plus rapide, mais je préfère clairement.
Sans plaques, plus il y a de cendres dans la BàF et plus une partie des buches se retrouvent hors BàF, donc c’est moins un souci ? (Avec plaques, on veut vraiment que l’air pénètre dans a BàF.)
- J’ai fait quelques observations de la température de fumée lorsque je laisse plus d’air entrer dans le poêle. J’ai toujours eu peur que laisser plus d’air passer prenne la température de la cloche et que ce soit visible sur le thermomètre, que ce soit cohérent ou non.
Lorsque les braises deviennent calmes, voire froide, ouvrir l’arrivée d’air n’augmente pas la température de fumées.
Je pars donc du postulat que si la température des fumées montent, c’est que du chaud est apporté et que ça ne refroidit pas ou peu le poêle. (Pas sûr qu’à la fin ça le chauffe par contre.)
Je me permets donc d’ouvrir un peu l’ouverture du cendrier (ce qui donne une forte aspiration) à la fin de flambée, tant que ça montre un apport au niveau de la température de fumées. Pour souffler fort sur les cendres et bien les faire se consumer Sans me dire que ça refroidit dorénavant.
Plusieurs avantages : meilleure réduction des braises, plus de chaleur ? et fermeture plus tôt de la trappe d’arrivée d’air en fin de feu.
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J’ai l’impression qu’une plus haute température de fumée amène à un meilleure réchauffement du poêle.
Sur base de ça, j’ai tenté de laisser une forte d’arrivée d’air, avec un feu très actif pour monter à 175C° de température de fumée au lieu de 150C° au max lorsque je laisse ma bride seule apporter une quantité d’air raisonnable (voir premier sujet du post).
Visuellement et en ressenti ce n’était pas extra.
En mesure non plus : de 34C° à 76C° pour 10kg de bois, +4,2C° par kg de bois. Ce n’est pas ridicule, mais l’expérience n’est pas du tout concluante.
A noter que ce n’était qu’un petit feu de 10kg, avec du bois pas super et une petite différence de température, donc je prends les résultats avec des pincettes.
Avec un gros feu qu’on laisse aller à 200C° au lieu de 150C° par exemple, le résultat pourrait être plus marqué. (Mais c’est le genre de feu intense enclin à faire apparaitre des fissures.) -
Comme j’utilise depuis 2-3 semaines du bois moins bien (dont bouleau) court (souvent moins haut que la BàF), voire un peu épais, les flambées sont différentes. Les flambées font plutôt 8-10kg.
J’ai tenté en rechargeant la flambée, lorsqu’il y a encore plein de flamme et de la place qui se crée pour insérer des buches chaudes et sèches.
8.5kg + 2.5kg + 2.5kg
Ca a très bien fonctionné en passant de 53C° de temps max de surface à 117C°. (+4,7C° par kg de bois) Et le ressenti était très bon !
Le « tube » formé par la BàF et les plaques entament bien les nouvelles buches. -
L’expérience précédente est intéressante car je commençais à me dire que j’avais tout de même plus de mal à bien monter en température très élevée, avec BàF+plaque par rapport à sans BàF. Alors que là je suis très content. Malgré ça, je le pense d’ailleurs quand même encore un peu, j’ai de bons souvenirs de sans BàF. Mais pour en avoir le coeur net il faudrait faire une belle comparaison viable.
Et si avec rechargement je monte à 20 kg de bois avec Bàf+plaque, est-ce que ça ira top, ou bien ça montrera les limites du rechargement ?
Je viens de prêter mon thermomètre laser pour quelques temps, donc plus trop de tests prévus.
Ca me fait bizarre étant donné que cette année je notais toutes les flambées.