Bonjour,
Je pose surement trop de questions, mais je me demande grosso modo si une couche de refracol trop présente peut avoir un impact négatif.
(Et ce n’est pas uniquement lié à l’habillage, je me suis planté de partie de forum.)
Il est vite apparu durant la construction que mettre du refracol était maladif chez moi.
Sur chaque joint, j’aimais repasser mettre une fine couche. Au plus ça avancait, au plus ça me prenait. Au point que je devais me retenir de ne pas en mettre partout, pour que toutes les briques et tous les joints soient (psychologiquement) protégés. Ca n’a pas loupé, sur le haut du coeur, la couverture de refracol doit bien être de 80%.
Je ne pense pas que ce soit utile, c’est surement du refracol gaché et un peu de temps perdu.
Je me disais que tant qu’à faire, autant protéger les joints au maximum, d’autant plus que la plupart vont devenir inaccessibles.
Je ne voyais pas le mal que ça peut causer. A la limite, la fine couche pourrait souffrir et s’émietter, mais pas sûr, et ça ne me semble pas dramatique. (Souvent dans d’anciennes cheminées on mettait une couche de mortier pour protéger les briques et ça tenait bien.) J’avais aussi peur qu’en mettant plus de refracol, ça facilite au contraire les fissures, mais ça me semblait peu plausible.
Esthétiquement, l’intérieur du poêle ne sera pas superbe, mais soit.
Au final, je suis pris d’un doute !
Ma logique était que les briques réfractaires emmagasinait la chaleur, que la colle réfractaire prendrait aussi cette chaleur sans souci et n’impacterait aucunement le travail des briques.
J’espère qu’il n’y a pas besoin d’un contact direct entre les fumées et la brique pour obtenir un transfert de chaleur optimal ?
La couche de refracol étant moins lisse que les briques, est-ce que ça pourrait avoir un impact négatif ?
Bref, si quelqu’un peut me rassurer que ça ne servirait à rien de gratter autant que possible tout le refracol en excès, je serais rassuré.
Des photos ci-dessous pour éclairer la situation.
Merci !