bonsoir,
Les feux se suivent et ne se ressemblent pas.
En ce moment, sans qu’il fasse vraiment plus froid, j’ai plus de mal à chauffer.
J’ai simplement changé de tas de bois qui me semble plus humide. Le feu prend moins rapidement et est moins intense.
Je ne fais plus sécher le bois dans le poêle à cause de la condensation qui était trop importante.
Je vais essayer de le rentrer quelques jours avant.
La Vmc influence vraiment le départ du feu je ne sais pas pour la suite… Si la maison est en dépression, il a du mal à partir. La fumée peut même sortir par la porte du cendrier. L’ouverture d’une fenêtre règle rapidement le problème. Je vais voir dans les jours qui viennent ce que cela donne en jouant sur ces paramètres.
merci à tous pour vos tests et retour d’expérience.
Bonsoir,
les mots clefs combustion et humidité m’ont renvoyé quelques liens intéressants (pour les âmes sensibles ne regardez pas l’éditeur du site !)Ca donne quelques pistes de recherches.
Comment l’humidité influence-t-elle la combustion ?
Pouvoir calorifique du bois de chauffage
Guide Ademe sur le chauffage au bois
des choses intéressantes:
Sous l’effet de la chaleur, l’eau contenue dans la bûche remonte à la surface du bois où elle va progressivement se transformer en vapeur. La chaleur nécessaire à l’évaporation de l’eau est perdue. Le processus d’évaporation abaisse la température. Cette étape de la combustion produit peu de chaleur.
Lorsque le mélange entre air et gaz du bois se fait bien, les flammes se propagent et la température s’élève à près de 350 o C. Une fois l’essentiel du bois consumé, il ne reste qu’une petite partie que l’on appelle le charbon. Pour le brûler, il faut des températures d’environ 550 o C. A ce stade, la combustion se poursuit principalement à la surface du charbon et n’a pas besoin de beaucoup d’air. Vous pouvez réduire l’apport d’air.
bois tendre = plus d’air secondaire, bois durs moins d’air secondaire
la taille et l’humidité des buches influence l’émission de particules
l’allumage top/down peut permettre de diminuer par 6 l’émission de particules !
Utilisez environ 1 kg de bois pour 100 kg du poids du poêle.
Les étapes d’un feu:
Les étapes d’un feu
picbleu.fr/page/la-combusti … t-conseils
Pour aller plus loin (voir jusqu’à page 11)
Combustion avec excès d’air : pour s’assurer que tous les gaz produits par la pyrolyse du bois soient oxydés, une des solutions consiste à brûler le bois avec excès d’oxygène, donc d’air. Malheureusement cela augmente le volume de fumées à chauffer et diminue ainsi la température moyenne dans l’appareil générant une combustion incomplète, si l’excès est mal contrôlé.
Merci pour les extraits !
Un détail : c’est plutôt 600 degrés et + plutôt que 350… Bizarre.
Tu as un testeur d’humidité du bois ?
Quand je faisais sécher mon bois dans le foyer, je n’ai jamais eu de condensation sur la vitre, alors qu’il fait assez froid dans la pièce de ce côté du poêle. Par contre, je rentre toujours le bois quelques jours avant contre le poêle. Et le bois que j’ai acheté a environ 5 ans donc il est déjà bien sec à la base.
Bref, il y a de bonnes chances pour que ton bois soit trop humide. La baisse de rendement peut être très importante dans ce cas. Et les démarrages laborieux.
Moi, par exemple, j’ai régulièrement du mal à faire partir mon petit bois quand il n’est pas assez sec.
Une technique que j’ai testé hier et qui a très bien fonctionné c’est de faire sécher uniquement mon petit bois dans le foyer.
Salut Clément,
non je n’ai pas de testeur.
J’ai arreté car j’avais de la condensation qui aparaissait à travers l’enduit terre des boisseaux et qui tachait.
J’imagine que tu connaissais déja beaucoup de chose.
A chercher : pouvoir comburivore et combustion stœchiométrique
Ce que j’ ai retenu:
- L’humidité du bois est le facteur principal:Le PCI (pouvoir calorifique inférieur) du bois varie peu selon l’essence mais considérablement en fonction du taux d’humidité (5,2 kWh/kgpour le bois sec et tombe de moitié pour 40% d’humidité sur brut)
- L’air est le second facteur important : suffisament pour que les gaz brulent mais pas trop pour ne pas refroidir le foyer. A la fin, les braises nécessitent moins de chaleur pour se consummer d’où la fermeture de l’arrivée d’air
- La pyrolyse est l’étape primaire de la combustion du Bois. C’est aussi l’étape limitante qui va gouverner la vitesse de combustion du bois. Sa vitesse est liée à la granulométrie (rapport Surface/Volume) du combustible. Plus le bois est divisé plus la vitesse est importante et plus il se formera de gaz combustible.
- L’allumage top down au dela de l’aspect envirronemental permet de faire passer les gaz de la pyrolyse à travers les flammes;
- Les bois durs nécessitent moins d’air secondaire et inversement.
- La couleur jaune des flammes provient de la combustion partielle de goudrons et caractérise une combustion imparfaite (manque d’air, bois humide)
- Une température de 600 °C apparaît comme minimum dans le cas du bois, 800 à 900 °C étant certainement le niveau idéal.
Salut Yannick,
Ah ok, je croyais que c’était sur la vitre. Je n’ai pas de boisseaux ni d’enduit terre donc on ne peut pas comparer. Tu as toujours le spectre des joints sur ton enduit, ou c’était ça la cause ?
Apparemment, la combustion stœchiométrique, c’est la combustion avec exactement l’air qu’il faut. Le rêve, quoi
Tiens, un document qui explique très simplement la combustion : formation-energetique.fr/images … n_prof.pdf
Il me semble que la couleur des flammes dépend aussi beaucoup de leur température.
salut
t’es t’il possible de prendre les températures du sol a proximité(du pied jusqu’à 1m) de ton poêle avant/pendant et après la flambée. Les calories peuvent en partie ce barrer par la…
pour les vidéos de tes flambées, quelques une me semblent très proche du feu de forge, la vitesse de passage des gaz est important, logiquement tes fumées doivent être très chaude en peu de temps.
Le sol
Concernant le sol, je pense aussi que c’est intéressant de s’y intéresser. Hervé nous a déjà indiqué que 1h après le feu il obtenait 19 C° au sol au plus proche du poêle.
Cependant, même si comparaison n’est pas raison, je ne vois pas en quoi ça influencerait la montée en température du poêle, ça me semble trop court.
Par exemple, j’ai un sol non isolé, au-dessus d’une pièce non isolée. Aujourd’hui, il fait 2C° dehors et 3 C° dans la pièce du dessous. Le sol juste devant le poêle peut monter à 23C°, et descend à 16C°. (Avec grosso modo 2 feux par jours de 10-13kg). Au milieu de la pièce c’est plutôt 14C°, et plus loin 10 C°. Pourtant mon pêle monte en température et les 19C° ne sont pas si difficiles à obtenir.
Les sol est peut-être humide chez Hervé (ce qui ne dervait pas être le cas chez moi), il faudra attendre quelque mois pour s’assurer du contraire.
Hervé nous a pourtant indiqué que sa dalle a été coulée il y a plus de 4 ans, avec des films pour l’humidité et une isolation de 10 cm de polystyrène…
Le mur
Je me demande bien l’impact d’un mur de 1.5m d’épaisseur.
(Je me souviens de quelqu’un qui habitait une ancienne ferme non isolée chauffée au bois et qui me disait qu’il n’avait pas besoin d’isoler car la chaleur mettait trop de temps pour traverser son mur de 1m d’épaisseur.)
De toute façon, si c’est isolé ici… A nouveau, à voir l’hiver prochain ce que ça donnera lorsque la maison aura été habitée, aérée et chauffée tout l’été.
J’ai l’impression qu’il s’agit d’un escalier derrière le poêle, donc je ne comprends pas où est le mur en parpaings. Instinctivement je n’aurais pas isolé la cage d’escalier, pour qu’elle chauffe justement, et que ça monte plus facilement à l’étage.
Peut-être que toute cette inertie et cette isolation rend le poêle moins puissant, car la chaleur a du mal à partir ? D’un autre côté justement, j’aurais cru que ça aurait aidé le poêle à monter haut en température (pas l’inertie mais l’isolation), ce qui ne semble pas être le cas.
Deux flambées
Qu’entend-on exactement par un feu de forge et est-ce problématique ?
Je pense toujours qu’essayer 2 feux par jour serait intéressant si c’est possible. Pour moins stresser le poêle comme l’a constaté stefun. Parce que c’est plus performant comme l’a indiqué David. Parce que ça permet de maintenir le poêle à une température plus haute et donc de mieux en profiter et mieux chauffer (quitte à utiliser un peu plus de bois car la chaleur est plus vite libérée). Et pour avoir un foyer plus chaud au départ, moins rempli et plus dégagé, pour essayer d’avoir une meilleure combustion.
Etant donné que tu as de bons appareils de mesure, ça permettrait également de comparer le résultat.
J’avais évoqué le calcul des pertes d’une maison dans un message, qui peut être intéressant pour évaluer s’il est normal ou non de ne pas réussir à chauffer avec telle ou telle quantité de bois. J’ai écrit un petit article qui explique le principe simplement, avec 2 petites calculettes : laboucheouverte.fr/calcul-p … hermiques/
Voilà, si ça peut servir…
Salut à tous !
Me voila de retour, avec quelques mesures interessante.
Je signale au passage le changement radical du comportement thermique de ma maison …
Allez savoir pourquoi .
J’habite maintenant l’intégralité du bâtiment, je fait un feu quotidien, avec environs 20Kgr.
Je ferme bien plus tot la sortie de fumée, presque dès l’extinction des dernières flames.
Il fait entre 18.5 et 19.5 dans les chambres a l’étage, et une 20en de degrés dans le séjour ( de presque 90m² quand même …
Je brule un mélange de chêne et châtaigner fendu (plus petit que ce que je faisais) et bien sec.
J’avais fait l’experience de fermer la cheminé interne du coeur, par une fente de plus en plus étroite, je n’ai pas vue d’avantage particulier, cela calme mon tirage mais pas assez, le plus efficace est de fermer un peu le clapet de fumées.
Par contre le point chaud se déplace en fonction de la manière dont on ferme cette fente, je m’explique:
J’avais posé une dalle réfractaire, laissant 5cm de passage des fumées, la plaque posé sur les briques du goulet, donc la fente etait plus en arrière du cœur: du coup le point chaud etait très reculé et marqué sur le poêle a 30cm environs du mur arrière.
J’ai ensuite déplacé cette dalle sur l’arrière du poêle, la fente est donc plus « centrée » par rapport au cœur, le point chaud c’est déplacé bien en avant, c’est maintenant la face du poêle qui est plus chaude que les cotés.
Je pense donc enlever totalement cette plaque et laisser le cœur comme a l’origine afin que les températures soit plus homogènes.
Voici un graphique avec deux sondes, une sur le point chaud, l’autre à un metre du sol. Je ne pensais vraiment pas que les courbes se suivent !.
Ici les sondes que je vais laisser ( je pense…) les plus utiles pour moi, température du point chaud ( savoir ou en est la batterie thermique), les fumées ( je conduit bien mon feu ? ) et la température de la pièce ( madame va elle se peler )
[url=https://servimg.com/view/19727998/115][/url
voila la stabilité …ca me va ! il fait en ce moment entre 2C° et 5C° dehors toute la nuit.
A bientôt !
hervé
Intéressant, merci !
Tout ceci, c’est avec ou sans BAF ?
Quand tu réduisais la sortie en haut du coeur, tu ne voyais pas de différence sur la température des fumées ? Tu parviens à ne pas avoir de fumées visibles sur le toit ?
Enfin, ta maison fait combien de m² en tout ?
Salut Clément,
Sans la BaF , si non je monte pas assez en température, j’ai doublé l’intérieur du poêle que je t’ai fait voir, pour éviter que le cœur ne s’abime.
Je n’ai pas de différence sur les fumées, ni sur les températures, ni sur la visibilité ( un peu gris au début, invisible 10min après le départ du feu)
Je chauffe actuellement environs 160m², (bien isolé, 40cm laine de bois en toiture, 20cm laine de bois dans les murs +contre cloison cyporex)
Super, content de voir que ça chauffe, c’est le but !
Peut-être simplement la maison qui a eu le temps de bien chauffer à coeur ?
Ou cette fameuse humidité qui a eu l’occasion de sortir ?
On ne le saura probablement jamais.
Dans une maison qui n’a pas de parois froides, 20 C° au salon et 19C° à l’étage, ce doit être confortable.
Un clapet de fermeture dans le conduit d’évacuation pourrait être sympa en effet. Je pensais que c’était interdit, mais j’ai découvert qu’il en existait certains qui laissaient toujours passer un peu d’air même en position fermée (pour laisser sortir les gaz qui le voudraient), c’est une option à envisager.
Je pense à l’option de diminuer ponctuellement la largeur de l’ouverture à la base du conduit de boisseaux pour limiter le tirage. J’y ai accès via une trappe de ramonage. A suivre…
Intéressant ce graphe avec deux points de mesures sur le poêle. Ca correspond grosso modo à ce que j’obtiens, et qui donne l’impression que la mesure du point chaud donne tout de même une idée, très approximative, de l’état du poêle.
Maintenant, ça dépend surement de la manière de faire la flambée. (Type de bois, de flammes, avec ou sans BàF, avec beaucoup d’air ou non, avec rétrécissement ou non, …)
De plus j’ai l’impression que la sonde à 1m du sol est bien placée. Les briques aux extrémités chauffent moins par les fumées, plutôt par la répartition de la chaleur. A certains points chez moi, j’ai donc des briques qui gagnent en température lorsque le point max descend.
Intéressant aussi l’expérience de réduire la cheminée interne et de déplacer le point chaud.
Ca pourrait servir pour quelqu’un qui place son poêle contre un mur et qui préfère amener plus de chaleur à l’avant ? (Et en tout cas boucher la cheminée par l’arrière s’il n’y a pas de four blanc ?)
Chez moi je constate que le côté où se trouve l’évacuation vers la cheminée chauffe plus fort que celui en face par exemple. Les fumées seraient plutôt attirées par là ?
Si tu passes grosso modo de 30 C° à 90 C° de t° max en surface pour 20kg de bois, ce n’est toujours pas une envolée spectaculaire de température de surface… mais c’est déjà plus raisonnable (+3C° par kg). Il y a surement une bonne explication. Au final, si ça chauffe bien et que la quantité de bois à utiliser convient, c’est top.
Merci pour les infos, profite bien de chez toi !
PS: J’avais écrit ce message avant de lire le dernier post.
A l’époque, lorsque ça ne chauffait pas assez, tu utilisais une boite à feu si je me souviens bien.
Dorénavant, tu n’utilises plus de boite à feu (de plus le bois est fendu plus fin). Est-ce que l’explication des meilleures températures pourrait venir de là ?
Par curiosité, avec quoi l’intérieur du foyer est doublé pour le protéger ?
Bon, ça va, j’ai compris, vous êtes tous entrés dans le lobby des anti-BAF !
Ceci dit, ce serait intéressant de comparer une semaine de chauffe avec BAF contre une semaine sans, avec des conditions météo similaires.
Clerbois, pour rappel, Hervé a enduit le poêle, ce qui a forcément un impact sur la température max du point le plus chaud. La chaleur se diffuse davantage avant d’arriver à la surface. Je t’ai pris en flagrant délit de comparaison de deux poêles non identiques !
Je pensais aussi tester une sorte de clapet dans mon banc qui permettrait de régler le tirage par le côté aval. Genre une tige transversante avec une plaque dessus. Je ne sais pas trop comment gérer l’étanchéité du trou par lequel passerait la tige. Vous avez des idées ?
Justement, la comparaison du point le plus chaud des deux poêles ne me semble pas inopportune ici.
Je constate des mesures qui me semblent particulières, je le souligne, tout en indiquant qu’il y a surement une explication… => la différence constatée permet de mettre en valeur que le poêle est enduit.
Je me souviens qu’il avait été recouvert de Fermacell. Avec un impact énorme. (David avait par exemple parlé de cette option également, mais sur base de l’expérience de Hervé ça semble être à déconseiller.)
Cependant, je n’ai plus en tête qu’il avait été enduit ensuite, ni en quoi, ni en quelle épaisseur.
A vrai dire, je ne sais pas à quel moment le poêle est devenu enduit, ni à quel moment il est passé en mode « pas de BàF », j’ai donc pu faire des comparaisons hasardeuses.
En attendant, si la différence est uniquement due à l’enduit, ça peut avoir un bel impact. Je ne m’attendais pas à ce que ce soit aussi marqué. Ca m’amène à me poser des questions sur mon futur potentiel enduisage.
Sans enduit, le point chaud pourrait théoriquement passer de 90C° à 110 C°. (+4C° en t° de surface max par kg de bois est tout de même constaté chez plusieurs personnes, surtout sans BàF) Ok, la température moyenne avec enduit sera probablement plus homogène. Et la chaleur se rendra sur le plus long terme. Forcément, il rendra moins vite sa chaleur, car il y a plus d’inertie et parce qu’il est moins chaud en surface. Si on a du mal à chauffer, ou si on recherche plus de réactivité, ce n’est pas top. (Heureusement ici ce n’est pas le cas.)
En pratique ceci dit, tant qu’on ne s’intéresse pas à des utilisations extrêmes, ce sera moins marqué une fois en vitesse de croisière ? Si le poêle perd moins vite en chaleur à cause de son inertie, et qu’on brule la même quantité de bois au même rythme avec ou sans enduit, ça veut dire qu’avec enduit il sera plus chaud lorsqu’on relance les flambées. Et donc qu’il va finir par par monter, petit à petit, plus haut en température ?
Je serais tout de même curieux de connaitre la température moyenne du poêle enduit.
Je suis intéressé de connaitre la technique employée pour protéger le foyer sans BàF également.
Deux semaines de test
Une semaine avec ou sans BàF serait intéressant, mais garder des conditions atmosphériques identique, et une utilisation identique de l’habitation, ça me semble difficile.
(On va commencer par plus de mesures sur le poêle sans BàF…)
Clapet pour régler le tirage
A priori le conduit d’évacuation n’a pas besoin d’une étanchéité ultime, le tirage devrait se charger de prendre les fumées.
Mais étant donné que c’est pour perturber le flux et les pressions des fumées, mieux vaut se méfier.
on trouve surtout des clapets dans les conduits, ou dans les boisseaux, il existe aussi les fameux régulateurs de tirage :
- -
Pour l’intégrer dans le banc, comme clapet, tu penses à une plaque rotative, ou bien une plaque à glisser ?
Pour une plaque rotative, j’aurais essayé de faire le percement au plus juste par rapport au diamètre de la tige. Et, sans doute inutile, j’aurais complété au sommet en creusant un peu et en évasant le haut du trou (s’il y a assez d’épaisseur), pour y tasser tasser de la laine de roche autour de la tige et refermer avec mortier ou coulis.
Bon, c’est juste une idée. La question est intéressante, j’imagine que d’autres ont déjà dû y penser. (Je pense avoir déjà lu la question ailleurs mais sans résultat.) En espérant qu’il y a mieux.
bonsoir,
bien content pour toi que ca fonctionne Hervé !
Je pensais à une plaque rotative comme sur ta deuxième photo.
Il faut effectivement que ca ne soit pas complètement étanche (je ne me rappelle plus du % dicté par le DTU). J’avais un peu la même idée que toi pour l’étanchéité. Ou alors il faudrait une membrane haute température, comme ce qu’ils mettent sur les membranes d’étanchéité à l’air autour d’un conduit ?
Salut,
J’ai installé ça sur mon boisseau coeurdefoyer.fr/clapets-by- … umees.html
On ne peux pas le fermer totalement, le trou est décentré ce qui laisse 5cm d’ouverture au minimum.
Pour la tige, elle est noyé dans le mortier lors du montage, pas plus que ça et j’ai pas de fuite.
Depuis mes derniers messages mes feux sont efficaces, j’arrive a réguler en fonction des températures entières, je passe maintenant moins de 20Kgr par feu . les températures intérieures sont stable a 19-20C°
J’ai deja eu quelques « surchauffe » a cause du soleil de ce début de printemps
A bientôt !
Tant mieux si ça chauffe bien ! Moi aussi, j’ai bien ralenti la consommation de bois avec le retour des températures positives et du soleil.
Merci pour le lien, ça ressemble à ce que je veux faire.